• Le froid a gelé mes doigts, d'où mon petit silence hebdomadaire. Le conseil de la semaine concernera Weissburgerstrasse. Plusieurs boutiques se disputent le titre de la boutique du mois. C'est pourquoi je consacrerai un autre article la semaine prochaine. 

    Nous débuterons cette semaine par la boutique Weltladen, Weissenburgerstrasse 14. La boutique Weltladen appartient à un réseau de commerce équitable. Vous y trouverez quelques étagères de thé aux saveurs originales, café aux origines exotiques, chocolat, vin, ... Le choix est intéressant en dépit de l'espace restreint consacré à l'alimentation.

    Vous cherchez des bijoux pour cette fin d'année. La boutique propose un large éventail de colliers, bracelets et bagues à un prix intéressant. Les couleurs et les formes sont généreuses, la qualité honnête (jusque là j'ai été satisfaite). Pour ceux et celles qui aiment les bijoux ethniques, vous ne serez pas déçus.

    Autre intérêt de la boutique sa large gamme d'instruments de musique venus des quatres coins du monde. L'éternelle flûte de Pan, l'ocarina immuable. Hormis ces grands classiques des boutiques du commerce équitable, vous trouverez un anneau auquel sont suspendues des noix, qui produit un son agréable aux oreilles des touts-petits. 

    Vous vous laisserez également charmer par les sacs découpés dans de la toile de jute et imprimés d'images de Bollywood, ou bien fabriqués à partir de plastique recyclés, par les sacs tressés, tricotés, brodés...

    Vous partirez enfin avec votre cadeau sans avoir oublié au préalable d'acheter un papier ou une pochette cadeau orné de motifs élégants et chaleureux. Si vous ne devez aller dans cette boutique que pour un produit, allez y pour le papier cadeau il est remarquable. Il témoignera de l'attention que vous portez au destinataire de votre présent.

    A la semaine prochaine, nous parlerons de la boutique située juste à côté de Weltladen.

     

    P.S. : Vous trouverez des informations supplémentaires sur le site Internet, weltladen-muenchen.de

     


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  • Un week-end de plus à Munich passé à travailler. Mon fils a le nez pris depuis une semaine. La crèche a débuté, les petites maladies et maux aussi. J'ose supposer que ce petit nez un peu malade va perdurer jusqu'à la fin de la crèche. Les guerres de religion n'ont presque plus de secrets pour moi. Amiral de Coligny ar-ci, Henri de Condé par là. La préparation de l'agrégation poursuit son bonhomme de chemin.


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  • Le froid s'abat sur Munich. Les services météorologiques ont annoncé des températures glaciales pour la semaine à venir. Nous adoptons dorénavant des chiffres à une seule unité. Les nombres ont disparu des tableaux récapitulatifs des températures. La fille du Sud que je suis frissonne à l'annonce de ces journées grises et glaciales. Les feuilles dorées et rousses vont bientôt disparaître pour laisser la place aux squelettes noirs des arbres. La météo suit le cours de la bourse ou bien serait-ce le contraire? L'une comme l'autre connaissent une certaine période de glaciation. Je serai ravie qu'elles envisagent une certaine accalmie, suivie d'une durable embellie.


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  • Métropolice, D. DAENINCKX, 1997

    L'intrigue se déroule à Paris dans la brigade de police du métro. La commissaire Michèle Vogel dirige d'une main de maître une brigade d'hommes usés par leur vie et leurs rotations professionnelles. Elle fait face à la violence de ces hommes, dont certains ne cachent pas leur appartenance à l'extrême droite. Elle jongle avec son métier et ses deux filles, après sa séparation avec son époux. L'intrigue débute par une tentative d'attentat qui avorte par accident. Le poseur de bombes est poussé sous une rame de métro. Son tueur aura ainsi sauvé la vie de millions d'usagers du métro, sans le savoir. Le roman est bien ficelé se laissant lire d'une traite. 


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  • Je viens de déposer mon fils à la crèche. Il pleut. Le thermomètre de la voiture indique 10,5°C à l'extérieur. Je frissonne dans mon pullover. Devant la maison, je reconnais ma voisine qui revient de son travail. Je ramasse le courrier de la boîte à lettres qui déborde. Toutes des lettres adressées à mon mari. Une seule lettre m'est destinée. Il s'agit de ma carte bancaire. Je constate qu'une erreur s'est glissée dans mon nom. Notre banquier m'avait juré mordicus que l'erreur n'apparaitrait pas sur la carte. Sic!


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